dimanche 13 janvier 2008
Monarchie et écologie
dimanche 6 janvier 2008
La Monarchie décentralisée

mardi 1 janvier 2008
Interview de Vladimir Poutine par le Courrier International

Vladimir Vladimirovitch Poutine est très certainement l'un des rares chefs d'Etat autour duquel se déchaine tant et tant de passion. A l'ouest, les media le maudissent, chez lui, le peuple le plébicite. Pour ma part, j'estime qu'il est actuellement le seul chef d'Etat vraiment digne de ce nom. Gouvernant de manière pragmatique le plus grand pays du monde depuis maintenant 8 ans, il sait que le redressement de la Russie qui a subit 70 de communisme et 10 ans de libéralisme débridé est un travail de longue haleine et que les russes ont besoin de lui, de sa force, de sa volonté, de son réalisme pour relever les défies de demain.
A la suite de la nomination de Vladimir Poutine comme homme de l'année voilà une interview caractéristique de sa politique.
sSur les relations avec les Etats-Uni :
"La Russie a démontré à plusieurs reprises par la politique menée pendant les quinze dernières années qu'elle ne veut pas être simplement partenaire mais aussi amie de l'Amérique. Mais parfois, on a l'impression que l'Amérique n'a pas besoin d'amis, que les Etats-Unis ont besoin de vassaux qu'ils peuvent commander."
Sur Anna Politkovskaïa :
"Vous savez que Politkovskaïa ne jouait aucun rôle dans la vie politique russe. Insinuer qu'elle représentait un danger pour le pouvoir est une absurdité. Je pense que son assassinat est tout simplement une provocation contre le pouvoir. Personne n'a jamais parlé d'elle, une poignée de personnes connaissait ses activités et à présent tout le pays et le monde en parle. C'est une provocation intentionnelle, on a choisi une victime emblématique et on l'a abattue, voilà tout."
Sur Kasparov et les arrestations lors des manifestations de l'opposition :
"Pourquoi, d'après vous, Kasparov, lorsqu'il a été arrêté, s'exprimait-il en anglais et non en russe ? A mon avis, c'est parce qu'il s'adressait à un public occidental. Quelqu'un qui veut être dirigeant de son pays doit penser aux intérêts de son propre peuple et parler dans sa langue natale".
"Regardez les résultats, ils ne font même pas 1 % des suffrages. Sur le plan politique, il n'y a aucune raison de s'en inquiéter. Je les vois comme un instrument aux mains d'Etats étrangers visant à s'immiscer dans les affaires intérieures de la Russie."
"En ce qui concerne les arrestations [lors de manifestations de l'opposition], le fait est que les manifestants ne veulent pas simplement exprimer leur opinion mais aussi être mis aux arrêts, provoquer le pouvoir pour le pousser à agir avec cruauté. Ils veulent manifester là où on le leur interdit. Je vous le dis en toute responsabilité : les autorités continueront de réagir de cette manière."
Sur sa formation d'agent du KGB :
"On nous a toujours appris à être autodidacte, à analyser la réalité des événements en cours, d'en tirer des conclusions et de réagir en conséquence."
"Bien sûr, certaines choses de nos expériences passées peuvent nous servir, d'autres ont disparu. Le plus important est que, à l'université comme au KGB, on nous apprend à réfléchir de façon autonome, à collecter une information objective, l'analyser et à partir de cela prendre des décisions."
"Travailler dans le renseignement, c'est savoir travailler avec des gens et avant tout les respecter."
Sur Gorbatchev, Eltsine et les années 1990 :
"Je ne crois pas que j'aurais été capable de faire comme Eltsine et Gorbatchev qui ont voulu mettre fin au système soviétique que le peuple de Russie ne pouvait plus supporter. Gorbatchev a fait le premier pas, et Eltsine a achevé cette transformation historique, très importante pour la Russie et son peuple. Gorbatchev et surtout Eltsine ont donné à la Russie la liberté."
"Mais les choses ont empiré [après la chute de l'URSS]. Ce fut une désillusion tragique parce qu'au nom de la démocratie, on a commencé à tout permettre ; au nom du marché, on a commencé à voler des millions et à enrichir quelques individus ; on a permis la dilapidation et le vol d'énormes ressources appartenant au peuple tout entier."
Sur la corruption :
"Nous n'arrivons pas à résoudre le problème de la corruption et à contrôler la situation en la matière. C'est plus complexe pour une économie en transition et un système politique en restructuration. Je dois franchement avouer que le système de contrôle par la société civile des activités des institutions d'Etat ne fonctionne pas."
Sur sa foi religieuse :
"Il y a des choses sur lesquelles je ne peux pas m'exprimer publiquement parce que cela paraîtra comme de l'autopromotion ou une sorte de strip-tease politique."
"J'ai une bible dans mon avion et je vole souvent. J'ai donc la possibilité de lire la Bible."
Sur son statut de "leader national" :
La Monarchie Héréditaire

L'hérédité est sans doute le principe qui a été le plus attaqué depuis 3 siècles. Pourtant, que représente-t-il réèllement lorsque l'on a écarté la mythologie méritocratique? Il apparait que l'hérédité a ce premier avantage d'éliminer la compétition pour le pouvoir, c'est à dire, la radicalisation des conflits d'intérets. Elle assure ainsi un Etatfort, indépendant et arbitre capable d'entreprendre des réformes administratives, économiques et sociales ou de laisser des libertés aux citoyens, sans crainte d'être toujours renversé. L'hérédité permettra à la nation d'être enfin gouvernée et non plus seulement gerée à court terme comme c'est le cas en république. De plus, le pouvoir étant à l'origine indépendant des forces de l'argent, il peut gouverner sans, et même contre elles, et seul un roi héréditaire a pu châtier les Semblançay et les Fouquet que le régime actuel eu laissé courir. Enfin, l'hérédité assure la médiation active d peuple avec ses propres racines historiques : la nation c'est la naissance, c'est à dire la reconnaissance de la continuité historique
samedi 1 décembre 2007
Im Memoriam Anne-Lorraine

Anne-Lorraine : l'Autre Jeunesse
Dimanche dernier, une jeune étudiante en journalisme avait été retrouvée en fin de matinée, agonisante, dans une rame du RER D en gare de Creil, après avoir été frappée de nombreux coups de couteau par un délinquant sexuel. Celui-ci, récidiviste d'origine turque, avait déjà été condamné en 1996 à cinq ans de prison pour un viol commis sous la menace d'une arme sur la même ligne du RER.
Laurent Dandrieu, journaliste de Valeurs Actuelles, avait eu l'occasion de rencontrer Anne-Lorraine Schmitt lors d'un stage à la rédaction du journal. Il nous donne son témoignage qui mérite d'être reproduit dans sa totalité :
"Face à ce qu’a subi Anne-Lorraine, face à ce que subit encore sa famille, qui porte sa peine dans le silence, la pudeur et sans aucun doute l’espérance surnaturelle, les vociférations des jeunes de Villiers-le-Bel paraissent bien dérisoires. Loin de cette jeunesse sans foi ni loi qui ne cesse d’en appeler à ses droits mais ne veut entendre parler d’aucun devoir, qui exige le respect mais n’en témoigne pour rien ni pour personne, et pas même pour elle-même, il est une autre jeunesse, qui intéresse beaucoup moins les médias. Pourtant cette jeunesse ne se reconnaît pas, bien souvent, dans la société qu’on lui propose et dans les fausses valeurs qu’on lui offre en modèle, mais elle ne se réfugie pas pour autant dans la protestation agressive et geignarde, dans la provocation nihiliste. Elle préfère aux revendications le service, aux vociférations un discret engagement pour que le monde s’améliore. Elle ne brûle pas de voitures, elle les utilise pour des convois humanitaires. Elle ne pleurniche pas pour obtenir des gymnases qu’elle bombarde de cocktails molotov aussitôt construits, elle préfère organiser des pèlerinages ou des veillées de prière. Elle ne trompe pas son ennui avec des tournantes, mais manifeste pour défendre la vie ou va visiter des personnes âgées. Elle n’invective pas, elle se bat, paisiblement et sans haine, pour des convictions, pour que les valeurs chrétiennes et humanistes sur lesquelles s’est bâtie notre civilisation survivent. Anne-Lorraine était, jusqu’à dimanche, un membre anonyme de cette autre jeunesse. Parce qu’elle est morte pour avoir défendu sa pureté, parce qu’elle a résisté à l’ignominie avec un courage puisé dans sa foi, elle en est devenu l’honneur."
jeudi 6 septembre 2007
Vive Tintin au Congo!!!

On a tenté d'interdire Tintin au Congo.
Cette bande dessinée, indéniable témoin de l'aventure coloniale belge, incontournable compagnon des enfants dans leurs premier pas dans le 9ème art, résume de manière quasi-historique la vision qu'avait le monde occidentale de l'Afrique au "temps béni des colonies". Ah, c'est certain que l'Afrique d'aujourd'hui n'a plus grand chose à voir avec l'Afrique des temps jadis et du paternalisme européen envers des peuples que l'on croyait pouvoir mener à notre niveau de conscience et de technicité... naïfs que nous étions!
C'est vrai, l'Afrique d'aujourd'hui nous montre quotidiennement quel bon en avant elle a fait en chassant le "toubab". Elle est pacifique, on y vit paisiblement, on n'y meure pas de guerres, de famines, ni d'épidémie. Quel monstre cet Hergé. Nous montrer un Congo peuplé d'animaux exotiques, de tributs sympathiques, d'africains étudiants sur les bancs d'une école.
Au fil de cette histoire, Tintin est tour à tour professeur, médecin, pacificateur non-violent. Il réussit le tour de force incroyable de réconcilier deux tribus, les Babaoru'm et les M'atuvu!... Peut-être serait-il inspirer de revenir aujourd'hui s'occuper des affaires du Darfour!
Heureusement, la demande de cet étudiant congolais, M'butu Mondondo Bienvenu a été déboutée. Seul la haine de la Belgique, de l'Europe, et par là des anciennes nations colonisatrices et la rancune dû à la frustration de la colonisation l'ont poussé dans cette voie.
L'Europe, Monsieur Bienvenu-le-mal-nommé, aimez là ou quittez là. Et si vous choisissez de l'aimer, alors aimez avec elle toute sa culture y compris sa littérature et ses bandes-déssinées.
mercredi 5 septembre 2007
Famille! Relève-toi!

lundi 21 mai 2007
Un Week-end niçois et militant!


Le
lendemain, samedi 19, une délégation d'une dizaine de jeunes du FNJ Nice faisait un périple jusqu'à Gênes pour soutenir une action organisée par Forza Nuova. Sur le thème Travail, Santé, Logement, priorité aux italiens, et après une longue mise en place, un cortège a serpenté à travers les rues de Genova et principalement dans les quartiers populaires de la ville. Escorté par un impressionnant dispositif policier, le défilé a réussi à éviter les éternels provocateurs de la gauche socialo-marxiste qui avaient pour les besoins de la cause organisé un inutile contre-défilé. Le défilé s'est terminé par le discour attendu de Roberto Fiore, de Forza Nuova. Le FNJ Nice a déroulé sa banderole en soutient à leurs voisins italiens.


Aucun lien entre ces trois évenements, penserez-vous?... et bien détrompez vous car la formation intellectuelle, la solidarité européènne et la défense de nos traditions et de nos langues sont un combat commun, un combat contre le mondialisme et son avatar l'individualisme. Fiers d'être niçois, français et européens, les niçois de l'AF, du FNJ et de Nissa Rebela ont démontré ce week-end que la défense de l'identité nationale si chère parait-il à notre nouveau président, passe par la formation, le respect de nos traditions, et la solidarité avec nos camarades européens.