dimanche 13 janvier 2008

Monarchie et écologie

Une nouvelle fois, nous diffusons une intervention de Jean-Philippe Chauvin lors du banquet de l'Action française du 3 décembre. Au cours d'un magistral exposé, il a démontré en quoi la république était un régime incapable de répondre aux problèmes environnementaux de notre époque et les réponses que pourrait apporter la monarchie à cette question cruciale pour l'avenir de la France... et du monde.


dimanche 6 janvier 2008

La Monarchie décentralisée

Pourquoi nous voulons une monarchie décentralisée.




La monarchie, c'est en plus de la représentation de l'interet nationale, la représentation des interets locaux; en effet, l'antiparlementarisme et la décentralisation sont deux caractères indissoulblement liés. Nous sommes antiparlementaires parceque partisans d'une renaissance des collectivités locales. Cette volonté de promouvoir les richesses et les diversités de notre pays de façon intégrale est une composante essentielle de notre nationalisme. Nous voulons laisser s'organiser le pays réel en une multitude de républiques locales, autonomes et souveraines, compénétrées les unes les autres et capables de prendre en main leur avenir. Mais ces communautés ne peuvent rester liées entre elles sans une tiers-pouvoir. Ce tiers-pouvoir, c'est la mnarchie comme pouvoir transcendant. C'est pour cela qu'il est nécéssaire que le roi ne soit ni élu ni choisi, mais qu'il vienne d'ailleurs, qu'il soit inconditionnel, c'est à dire, héréditaire.

mardi 1 janvier 2008

Interview de Vladimir Poutine par le Courrier International

On ne présente plus le Président et bientôt Premier Ministre de la Russie.

Vladimir Vladimirovitch Poutine est très certainement l'un des rares chefs d'Etat autour duquel se déchaine tant et tant de passion. A l'ouest, les media le maudissent, chez lui, le peuple le plébicite. Pour ma part, j'estime qu'il est actuellement le seul chef d'Etat vraiment digne de ce nom. Gouvernant de manière pragmatique le plus grand pays du monde depuis maintenant 8 ans, il sait que le redressement de la Russie qui a subit 70 de communisme et 10 ans de libéralisme débridé est un travail de longue haleine et que les russes ont besoin de lui, de sa force, de sa volonté, de son réalisme pour relever les défies de demain.

A la suite de la nomination de Vladimir Poutine comme homme de l'année voilà une interview caractéristique de sa politique.

sSur les relations avec les Etats-Uni :
"La Russie a démontré à plusieurs reprises par la politique menée pendant les quinze dernières années qu'elle ne veut pas être simplement partenaire mais aussi amie de l'Amérique. Mais parfois, on a l'impression que l'Amérique n'a pas besoin d'amis, que les Etats-Unis ont besoin de vassaux qu'ils peuvent commander."

Sur Anna Politkovskaïa :
"Vous savez que Politkovskaïa ne jouait aucun rôle dans la vie politique russe. Insinuer qu'elle représentait un danger pour le pouvoir est une absurdité. Je pense que son assassinat est tout simplement une provocation contre le pouvoir. Personne n'a jamais parlé d'elle, une poignée de personnes connaissait ses activités et à présent tout le pays et le monde en parle. C'est une provocation intentionnelle, on a choisi une victime emblématique et on l'a abattue, voilà tout."

Sur Kasparov et les arrestations lors des manifestations de l'opposition :
"Pourquoi, d'après vous, Kasparov, lorsqu'il a été arrêté, s'exprimait-il en anglais et non en russe ? A mon avis, c'est parce qu'il s'adressait à un public occidental. Quelqu'un qui veut être dirigeant de son pays doit penser aux intérêts de son propre peuple et parler dans sa langue natale".
"Regardez les résultats, ils ne font même pas 1 % des suffrages. Sur le plan politique, il n'y a aucune raison de s'en inquiéter. Je les vois comme un instrument aux mains d'Etats étrangers visant à s'immiscer dans les affaires intérieures de la Russie."
"En ce qui concerne les arrestations [lors de manifestations de l'opposition], le fait est que les manifestants ne veulent pas simplement exprimer leur opinion mais aussi être mis aux arrêts, provoquer le pouvoir pour le pousser à agir avec cruauté. Ils veulent manifester là où on le leur interdit. Je vous le dis en toute responsabilité : les autorités continueront de réagir de cette manière."

Sur sa formation d'agent du KGB :
"On nous a toujours appris à être autodidacte, à analyser la réalité des événements en cours, d'en tirer des conclusions et de réagir en conséquence."
"Bien sûr, certaines choses de nos expériences passées peuvent nous servir, d'autres ont disparu. Le plus important est que, à l'université comme au KGB, on nous apprend à réfléchir de façon autonome, à collecter une information objective, l'analyser et à partir de cela prendre des décisions."
"Travailler dans le renseignement, c'est savoir travailler avec des gens et avant tout les respecter."

Sur Gorbatchev, Eltsine et les années 1990 :
"Je ne crois pas que j'aurais été capable de faire comme Eltsine et Gorbatchev qui ont voulu mettre fin au système soviétique que le peuple de Russie ne pouvait plus supporter. Gorbatchev a fait le premier pas, et Eltsine a achevé cette transformation historique, très importante pour la Russie et son peuple. Gorbatchev et surtout Eltsine ont donné à la Russie la liberté."
"Mais les choses ont empiré [après la chute de l'URSS]. Ce fut une désillusion tragique parce qu'au nom de la démocratie, on a commencé à tout permettre ; au nom du marché, on a commencé à voler des millions et à enrichir quelques individus ; on a permis la dilapidation et le vol d'énormes ressources appartenant au peuple tout entier."

Sur la corruption :
"Nous n'arrivons pas à résoudre le problème de la corruption et à contrôler la situation en la matière. C'est plus complexe pour une économie en transition et un système politique en restructuration. Je dois franchement avouer que le système de contrôle par la société civile des activités des institutions d'Etat ne fonctionne pas."

Sur sa foi religieuse :
"Il y a des choses sur lesquelles je ne peux pas m'exprimer publiquement parce que cela paraîtra comme de l'autopromotion ou une sorte de strip-tease politique."
"J'ai une bible dans mon avion et je vole souvent. J'ai donc la possibilité de lire la Bible."

Sur son statut de "leader national" :
"Je pense qu'il ne s'agit pas d'une catégorie administrative, ni même politique. Cela n'est pas déterminé par le nombre de lignes téléphoniques mises à votre disposition dans le cadre de votre fonction. C'est une charge morale fondée sur la confiance du peuple."

La Monarchie Héréditaire


Pourquoi nous voulons une monarchie héréditaire.

L'hérédité est sans doute le principe qui a été le plus attaqué depuis 3 siècles. Pourtant, que représente-t-il réèllement lorsque l'on a écarté la mythologie méritocratique? Il apparait que l'hérédité a ce premier avantage d'éliminer la compétition pour le pouvoir, c'est à dire, la radicalisation des conflits d'intérets. Elle assure ainsi un Etatfort, indépendant et arbitre capable d'entreprendre des réformes administratives, économiques et sociales ou de laisser des libertés aux citoyens, sans crainte d'être toujours renversé. L'hérédité permettra à la nation d'être enfin gouvernée et non plus seulement gerée à court terme comme c'est le cas en république. De plus, le pouvoir étant à l'origine indépendant des forces de l'argent, il peut gouverner sans, et même contre elles, et seul un roi héréditaire a pu châtier les Semblançay et les Fouquet que le régime actuel eu laissé courir. Enfin, l'hérédité assure la médiation active d peuple avec ses propres racines historiques : la nation c'est la naissance, c'est à dire la reconnaissance de la continuité historique

samedi 1 décembre 2007

Im Memoriam Anne-Lorraine


Anne-Lorraine : l'Autre Jeunesse

Dimanche dernier, une jeune étudiante en journalisme avait été retrouvée en fin de matinée, agonisante, dans une rame du RER D en gare de Creil, après avoir été frappée de nombreux coups de couteau par un délinquant sexuel. Celui-ci, récidiviste d'origine turque, avait déjà été condamné en 1996 à cinq ans de prison pour un viol commis sous la menace d'une arme sur la même ligne du RER.

Laurent Dandrieu, journaliste de Valeurs Actuelles, avait eu l'occasion de rencontrer Anne-Lorraine Schmitt lors d'un stage à la rédaction du journal. Il nous donne son témoignage qui mérite d'être reproduit dans sa totalité :

"Face à ce qu’a subi Anne-Lorraine, face à ce que subit encore sa famille, qui porte sa peine dans le silence, la pudeur et sans aucun doute l’espérance surnaturelle, les vociférations des jeunes de Villiers-le-Bel paraissent bien dérisoires. Loin de cette jeunesse sans foi ni loi qui ne cesse d’en appeler à ses droits mais ne veut entendre parler d’aucun devoir, qui exige le respect mais n’en témoigne pour rien ni pour personne, et pas même pour elle-même, il est une autre jeunesse, qui intéresse beaucoup moins les médias. Pourtant cette jeunesse ne se reconnaît pas, bien souvent, dans la société qu’on lui propose et dans les fausses valeurs qu’on lui offre en modèle, mais elle ne se réfugie pas pour autant dans la protestation agressive et geignarde, dans la provocation nihiliste. Elle préfère aux revendications le service, aux vociférations un discret engagement pour que le monde s’améliore. Elle ne brûle pas de voitures, elle les utilise pour des convois humanitaires. Elle ne pleurniche pas pour obtenir des gymnases qu’elle bombarde de cocktails molotov aussitôt construits, elle préfère organiser des pèlerinages ou des veillées de prière. Elle ne trompe pas son ennui avec des tournantes, mais manifeste pour défendre la vie ou va visiter des personnes âgées. Elle n’invective pas, elle se bat, paisiblement et sans haine, pour des convictions, pour que les valeurs chrétiennes et humanistes sur lesquelles s’est bâtie notre civilisation survivent. Anne-Lorraine était, jusqu’à dimanche, un membre anonyme de cette autre jeunesse. Parce qu’elle est morte pour avoir défendu sa pureté, parce qu’elle a résisté à l’ignominie avec un courage puisé dans sa foi, elle en est devenu l’honneur."

jeudi 6 septembre 2007

Vive Tintin au Congo!!!


Personne n'est sans savoir les misères que cet authentique chef d'oeuvre de la culture européènne et francophone vient de subir.

On a tenté d'interdire Tintin au Congo.

Cette bande dessinée, indéniable témoin de l'aventure coloniale belge, incontournable compagnon des enfants dans leurs premier pas dans le 9ème art, résume de manière quasi-historique la vision qu'avait le monde occidentale de l'Afrique au "temps béni des colonies". Ah, c'est certain que l'Afrique d'aujourd'hui n'a plus grand chose à voir avec l'Afrique des temps jadis et du paternalisme européen envers des peuples que l'on croyait pouvoir mener à notre niveau de conscience et de technicité... naïfs que nous étions!

C'est vrai, l'Afrique d'aujourd'hui nous montre quotidiennement quel bon en avant elle a fait en chassant le "toubab". Elle est pacifique, on y vit paisiblement, on n'y meure pas de guerres, de famines, ni d'épidémie. Quel monstre cet Hergé. Nous montrer un Congo peuplé d'animaux exotiques, de tributs sympathiques, d'africains étudiants sur les bancs d'une école.

Au fil de cette histoire, Tintin est tour à tour professeur, médecin, pacificateur non-violent. Il réussit le tour de force incroyable de réconcilier deux tribus, les Babaoru'm et les M'atuvu!... Peut-être serait-il inspirer de revenir aujourd'hui s'occuper des affaires du Darfour!

Heureusement, la demande de cet étudiant congolais, M'butu Mondondo Bienvenu a été déboutée. Seul la haine de la Belgique, de l'Europe, et par là des anciennes nations colonisatrices et la rancune dû à la frustration de la colonisation l'ont poussé dans cette voie.

L'Europe, Monsieur Bienvenu-le-mal-nommé, aimez là ou quittez là. Et si vous choisissez de l'aimer, alors aimez avec elle toute sa culture y compris sa littérature et ses bandes-déssinées.

Nous devons plus que jamais être en tête du combat pour la sauvegarde de notre civilisation contre les attaques moralistes et révisionistes de ce genre. Plus que jamais, et pour citer la foule congolaise accueillant le reporter du Petit Vingtième, crions avec eux :" Vive Tintin, vive Milou, vivent Tintin et Milou!".

mercredi 5 septembre 2007

Famille! Relève-toi!



S'il est un fait sociétal largement occulté par nos responsables politiques, c'est bien entendu la famille et son rôle au sein de notre société. En effet, pour que l'on parle aujourd'hui de famille, encore eut-il fallu que celle-ci soit "décomposée", "recomposée", mono-parentale" ou bien encore "homo-parentale". Mais qu'en est-il alors de cette famille reposant sur le curieux et obsolète modèle suivant : un père, une mère et des enfants? Quel nom lui donner à celle-ci? Nos intellectuels bien-pensants pourraient d'ailleurs s'y essayer et ne tarderont pas à nous trouver une formule dans le style :"Famille hétéro-parental de type archaïque".



Passons outre l'anecdote et essayons de comprendre pourquoi la famille, socle de la société et base de la civilisation, est la grande absente du débat public. Tout a été fait depuis une trentaine d'années pour en réduire l'importance, en saper l'autorité, et finalement, en minimiser l'existence même.Depuis la loi du 4 juin 1970 supprimant la notion de "chef de famille" au profit de l'autorité parentale conjointe, loi qui pourrait apparaître comme une avancé vers plus d'équité mais, qui, en réalité, n'est qu'une mise à mal de l'autorité paternelle, colonne vertébrale de la famille, jusqu'à l'actuel et démagogique débat sur l'homo-parentalité, nous avons assisté au recul de la notion même de famille. Or, cette famille est indispensable à la pérennité de la vie sociale. Refuge par certains points de vu, mais aussi base de départ dans la vie, le cercle familiale est uni autour de la notion d'amour. Cette notion même d'amour est d'ailleurs galvaudée de manière infâme par la société médiatique qui n'en retient que le sexe pour n'en faire qu'une marchandise pornographique. Dans notre pays, nous pouvons observer à ce sujet, que la dégradation de l'image de la famille suit une courbe descendante parallèle à celle de la foi chrétienne pourtant base de notre civilisation.


Cette famille traditionnelle est un roc sur lequel peut venir se briser la pseudo-culture médiatique. En effet, c'est au sein de la famille que se forge les mentalités. Et ceci n'est pas acceptable par ceux qui voudraient par le biais de la télévision ou de l'éducation nationale imposer leur manière de voir le monde. La multiplication et la généralisation de la culture superficielle des jeux médiatiques n'a qu'un but, celui de rendre obsolète la culture familiale transmise de générations en générations. Faire passer le père pour un "vieux con", voila le but recherché. Il en va de même avec la scolarité .Ce qui est apprit comme une vérité intangible au sein de l'école par des instituteurs et des professeurs fabriqués dans le moule des universités et des IUFM ne peut être contredit par des parents qui seraient immanquablement taxés de réactionnaires s'ils remettaient une seconde en doute ce que la sacro-sainte éducation nationale enseigne à nos chères têtes blondes. L'éducation nationale a déjà détruit le catéchisme, il lui reste encore la famille à abattre.La famille est de la même manière, un écueil aux discours politiquement et moralement correcte de nos hommes politiques, de nos "marketeurs" et de nos commerciaux qui doivent pour imposer leurs idées et leurs marchandises passer outre la famille, et, pour ce faire, tenter de la ridiculiser, d'en faire une notion "has been".Il est donc évident que pour nos décideurs politiques, médiatiques, commerciaux et financiers, la famille est devenue un ennemi terrible qui est en mesure d'ériger des barrières filtrantes dont elle est maîtresse ne laissant passer uniquement ce qu'elle aura décidé de laisser passer.En imposant économiquement à deux parents de travailler, on force les familles à avoir très tôt recours à la garde en crèche. Le lien maternel est ,par ce phénomène remplacé de manière plus ou moins consciente par un lien soi-disant social multiculturel imposé. En faisant des personnes âgées des charges pour les familles, on force les famille à avoir recours à des maisons de retraite, véritables mouroirs dans bien des cas. Qu'on les appelle seniors lorsqu'ils ont un revenu suffisants pour être des consommateurs ou bien "vieux" lorsque l'on insiste sur le fait qu'ils ne sont plus bons à rien économiquement, on tente de les séparer de leur cadre familiale en en faisant une population à part. La société pousse dans les deux cas à éloigner le lien familiale et affectif intergénérationnel. Or on le sait tous, un enfant apprend autant de choses et des choses bien différentes au contact de ses grand-parents qu'à celui de ses parents, tout en ayant un rapport d'autorité moins accentué. Mais aujourd'hui, en ce qui concerne nos grand-pères et nos grand-mères qui nous ont tant appris, on est en droit de se demander si la tendance de la société actuelle ne serait pas à la solution de l'euthanasie.La tentation d'éloigner les générations en séparant les extrêmes peut se faire de manière encore plus terrible. La civilisation de l'enfant roi impose aux familles d'avoir moins d'enfants. Tout enfant supplémentaire est susceptible de devenir une charge supplémentaire. En réduisant économiquement le nombre d'enfants, on réduit l'importance de la famille et les familles nombreuses sont de plus en plus montrées du doigt comme irresponsables. Il est bien évident que même avec deux salaires moyens, il est impossible d'offrir tout le confort matériel imposé par les publicitaires à 4 ou 5 enfants. D'où la généralisation de la contraception et le recours à l'IVG pour certaines mères qui ne comprennent sans doute pas qu'avoir des enfants est avant tout une grande chance pour l'avenir.


C'est pourquoi il est indispensable de revenir à une politique de promotion de la famille, de promotion de la vie, et de faire en sorte que fonder une famille ne soit plus infamant mais redevienne un fierté, il en va de l'avenir de nos enfants, de notre avenir et de celui de toute notre société. Ne disons plus, quand le bâtiment va, tout va, qui est une vision économico-financière de la société, mais disons "quand la famille va, tout va"!

lundi 21 mai 2007

Un Week-end niçois et militant!

Ce week-end, plusieurs activités ont eu lieu dans Nice...


Vendredi 18 tout d'abord, le Cercle Royaliste de Nice organisait une conférence sur le thème du syndicalisme en France , hier, aujourd'hui, et son implication dans la vie économique et sociale de notre pays. Devant une grosse vingtaine de jeunes lycéens, étudiants et jeunes professionnels, la conférencière , une jeune professeur d'histoire géographie a réussi un coup de force en faisant un brillant exposé, appréhendant le syndicalisme sous un angle à la fois social, politique et philosophique. La formation intellectuelle de notre jeunesse étant un atout majeur pour la réussite de nos actions futures, nous pouvons encore remercier les responsables du Cercle Royaliste de Nice pour cette conf'.


Le
lendemain, samedi 19, une délégation d'une dizaine de jeunes du FNJ Nice faisait un périple jusqu'à Gênes pour soutenir une action organisée par Forza Nuova. Sur le thème Travail, Santé, Logement, priorité aux italiens, et après une longue mise en place, un cortège a serpenté à travers les rues de Genova et principalement dans les quartiers populaires de la ville. Escorté par un impressionnant dispositif policier, le défilé a réussi à éviter les éternels provocateurs de la gauche socialo-marxiste qui avaient pour les besoins de la cause organisé un inutile contre-défilé. Le défilé s'est terminé par le discour attendu de Roberto Fiore, de Forza Nuova. Le FNJ Nice a déroulé sa banderole en soutient à leurs voisins italiens.



Au même moment, à Nice, Nissa Rebela organisait la "Journada Nissarda", place Arçon au coeur de la cité des fleurs. Danses traditionnelles, chants et mets locaux, tout était fait pour mettre en valeur la vieille culture niçoise et dire à tous les progressistes chagrineux que le niçois sont fiers de leurs traditions et qu'ils ne se laisseront faire, ni par l'impérialisme mondialistes uniformisateurs, ni par les défaitistes qui pensent que ceci n'est que du folklore voué à disparaitre... ce sont ces défaitistes qui disparaitront avant que ne s'éteigne la flamme des traditions niçoises!




Aucun lien entre ces trois évenements, penserez-vous?... et bien détrompez vous car la formation intellectuelle, la solidarité européènne et la défense de nos traditions et de nos langues sont un combat commun, un combat contre le mondialisme et son avatar l'individualisme. Fiers d'être niçois, français et européens, les niçois de l'AF, du FNJ et de Nissa Rebela ont démontré ce week-end que la défense de l'identité nationale si chère parait-il à notre nouveau président, passe par la formation, le respect de nos traditions, et la solidarité avec nos camarades européens.